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presse

«... Un album essentiel, portant à lui seul un pan entier de l’histoire de la musique contemporaine. Et représentant, sans doute aucun, un avenir. Une musique qui ne surfe en aucune façon sur l’époque, ses modes ou ses désirs éphémères mais qui l’écrit plutôt» sur hinterwelt in silico, yan kouton-delage, indiepoprock (FR) mai 2020

«(...) one of the most striking and attention-grabbing albums I’ve heard this year so far.» stuart bruce, Chain D.L.K. (US), may 2020

«as the title implies the virtual world figures prominently on rgp's latest release. pion's bass clarinet is knitted in electroacoustic worlds both activated and spare. guest vocalist lisa papineau flickers in and out like a holographic glitch (...)» on hinterwelt in silico, the wire (UK) june 2020

​«Hinterwelt crée quelque chose qui lui est propre, unique et vraiment nouveau. Un autre chef-d'œuvre de Renaud-Gabriel Pion, qui de surcroît sonne complètement différent du coup de génie spiritus. (20/20)» wolfgang kabsch, musik an sich, juin 2020

«néo-humanisme : Une projection dans l'outre-monde nietzschéen à l'ère numérique du silicium, guidée par le désir d'harmoniser la condition humaine avec la technologie, (...) avant de se concentrer sur une idée qui sait concilier instinct et rationalité, impulsion passionnée et recherche sonore.» Massimiliano Busti, Blow Up magazine (it), juin 2020

«(rgp) disparaît ici vers des panoramas électro-acoustiques expérimentaux (...) Idéal symphonique à longue portée, minimalismes électroniques et battements lumineux. Un album fascinant, qui mène à une curiosité constructive.» Vito Pagliarulo, music map (it) on hinterwelt in silico, june 2020

«... l’expression d’une vision à 360° de la musique, nourrie de tradition et de vestiges enfouis, de futur à écrire et d’éclectisme expressif, d’intimité et d’abstraction. Superbe.» silence and sound, roland torres (fr) on hinterwelt in silico, june 2020

«L'œuvre (...) fait référence au concept de Nietzsche d'arrière-monde et le relie aux idées de nouvelles technologies de l'information.» african paper (de), sur hinterwelt in silico, juin 2020

«un auteur et interprète apte à remettre en jeu son identité créative, dans une originale fusion cybernétique (...) qui ne manque ni d'implication de l'esprit musical, ni de charisme.» hinterwelt in silico review, the new noise (it, avril 2020)

«C'est une belle preuve de respect de la part de l'artiste que de faire confiance à l'ouverture d'esprit de son public et sa capacité à apprécier des choses nouvelles.» verdammnis (FR, 2019), hinterwelt in silico live review

«De l'ambient mélancolique et onirique, quelque part entre Metropolis et blade runner.» verdammnis magazine (FR), sur hinterwelt in silico, mai 2020

«maître de la clarinette basse, rgp défend Hinterwelt in Silico en intégrant l'électronique dans sa méditation, une direction minimaliste et jazz, parfois même atteignant des structures pop (...), parfois aussi dans l'acuité sonore d'un tapis acoustique.» on hinterwelt in silico, westzeit (de) may 1st, 2020

to periodiko (gr), june 2020 on spiritus

«un langage, basé sur des polyphonies étudiées, opérant une dilatation du temps et avec le souffle d'un orchestre de chambre jazz, dans lequel la dimension improvisation se soumet à la logique d'une discipline esthétisante et introvertie.» jazz convention magazine (it), April 2020 on spiritus

vital weekly review (NL), dec 2019 / article here on spiritus

cette "nouvelle simplicité" ne signifie en aucun cas superficielle. (...) De plus, quelque chose de vraiment pas insignifiant est réussi sur ce disque: il s'agit en fait d'une musique spécifiquement indépendante qui n'a jamais été entendue auparavant. (...) et spiritus est extrêmement sophistiqué dans le meilleur sens du terme.» bertl, freistil (DE), jan-feb 2020

«Renaud-Gabriel Pion fascine avec Spiritus. (...) il élabore une lente déambulation dans une étrange symphonie de verre, où tout s’étire et dérive, depuis de lentes plaintes ponctuées par un glas régulier jusqu’aux convulsions languissantes de l’orchestre. (...) on retrouve ici un Hymne et un Lament (en hommage à David Bowie), mais la musique, par sa sensualité si énigmatique, son indocile nudité, implacable et pudique, n’appartient qu’à Pion, jazzman autant que compositeur contemporain et saxophoniste symphoniste bien déterminé à offrir à l’amplitude orchestrale de nouvelles étoffes, de nouvelles directions.» louis-julien nicolaou, télérama (fr), oct 2019

«rgp propose une plongée orchestrale au cœur de la spiritualité avec son Ensemble 1529. baroque, associé aux harmonies et aux sonorités modernes d’un autre temps et d’un autre monde, aux confins du domaine de l’esprit, le son est beau, édifiant, au service d’un sentiment d’intemporalité et d’éternité, comme si cette musique avait toujours existé avant d’être révélée.» guillaume kosmicki, resmusica (FR), dec 2019

«Beyond our time

Of our time

Sublime

Vocal & Instrumental splendor.

AND programmatic.» (on spiritus)

van dyke parks, american composer/songwriter, nov 2019

«Le compositeur et multi-instrumentiste RGP a créé un cycle de musique incroyablement beau avec Spiritus et l'a enregistré avec un petit casting de stars. (...) Bill Frisell emporte le propos dans la direction du post-rock et de la pop ambiante de David Sylvian. (...) difficile de décrire cette musique, mais pas du tout de l'écouter.»

20/20, wolfgang kabsch, Musik an sich (De), nov 2019

«je ne cesse de l'écouter. (...) Voici le nouveau chef-d’œuvre publié aux éditions Radio France. des sons anciens mais modernes. Cependant, c'est l'ensemble qui fait la différence. Prenant des musiciens de milieux musicaux similaires, mais géographiquement éloignés, le compositeur français a créé la simplicité dans la musique. Et ce n'est pas peu.» Matteo Preabianca, Music Map (it)

«dans le remarquable Spiritus du clarinettiste basse RGP, (...) Bill Frisell joue sur des pièces très bien menées sans jamais paraître arbitraires. on entend tuba, cloches tubulaires, violoncelles, un contre-ténor et bien plus encore. influencée par le minimalisme et la musique ancienne, ici la rigueur devient beauté.» ***** magazine westzeit (de), nov 2019

«En paix, la magie de Spiritus se déploie, puis aussitôt la musique décélère. rgp parle d'une "nouvelle simplicité". une élégance qui aurait séduit Moondog. (...) un univers où nouvel orchestre de jazz, musique classique et même baroque côtoient la musique minimaliste, en salutation à Steve Reich. (...) à la fois limpide et rigoureuse, Cette musique est d'une beauté intemporelle.» radiohoerer (De), sept 2019

«renaud gabriel pion se refuse à toute auto-censure, humant l’air du temps et des lieux, en explorateur des sons du monde. Ce multi-instrumentiste ludique sait aussi se fondre dans les mondes d’autres personnages inclassables.» jérôme gillet (froggy's delight), 2016 s/ new york sketches

«Hier, Antony & The Johnsons invitait laurie anderson et Lou Reed à Pleyel (...) il y a les subtilités, les inventions d’un orchestre constitué de caïds ayant navigué sur toutes les mers (de Julian Joseph, autorité du piano jazz à Renaud-Gabriel Pion, souffleur de moult aventures contemporaines) ...» rémy kolpa-kopoul, 2013

«Il faut choyer un disque aussi maîtrisé et original.» les inrockuptibles, 2017 s/ atonalist feat. gavin friday

«l'album atonalism est un bijou post-industriel.» télérama

«(atonalist) an exquisite collection of tracks blending noise, dark ambient, industrial, musique concrète, with the incredible voice of gavin friday. (...) one of the best underground releases of this wretched 2017.» proper mindrape, nov 2018

«Like Debussy, Stravinsky, and a NES got together to make an industrial jazz album. 10/10.» lian briar, bandcamp 2017

«atonalism is a deep, genre-defying collection of pieces with an absolutely lush production quality that manages to bring sharp electronic production into a more organic, Brian Eno-ish soundscape with great success.»

«what they’ve managed to create here sounds very much like a missing late 1990’s David Bowie album, or at least a tribute to one.

this is fashionable pop music gone seriously dark»  chain d.l.k. on ATONALISM

«Paradise Alley is closer to classical music than anything I’ve heard Pion do before. (...) Paradise Alley, thanks to Pion’s gift for gorgeous sounds, is a soundtrack without pictures that is more than the sum of its parts.» john l. walters, **** the guardian

«nous voulons souligner l'originalité de l'écriture orchestrale de RGP dans Paradise Alley, ainsi qu'une relation neuve et très aboutie entre composition et improvisation.» nicolas brémaud, jazzmag

«rgp cultive l'unique, le moment rare, qui fait de l'instant une découverte.» bruno letort, france musique

«Le Paradise Alley de Renaud Gabriel Pion équivaut en quelque sorte au "Mulholland Drive" de David Lynch. Cette imbrication d'écriture et de liberté permet véritablement d'appréhender l'album tel un songe orchestral. Il se dégage de Paradise Alley une beauté grave, tragique, ...» hugo catherine (sefronia)

«cette bo urbaine de poèmes sonores, est un travail ethno-musicologique sur une mégalopole contemporaine.» djam s/ new york sketches

«Qalandar traduit une symbiose fascinante entre la tradition musicale de l’Est et celle de l’Ouest, imprégnée d’éclats inédits qui hantent la conscience et l’imagination de l’auditeur. (...) Dans Qalandar, Renaud-Gabriel Pion vous invite à un voyage musical pareil à nul autre. » Robert Ratajczak

«new york sketches dégage une atmosphère magnétique, comme si robert wyatt et tom zé composaient la bo d'un cassavetes.» jazz news

«rgp s’affirme comme un metteur en scène inspiré de sons et de mélodies.» thierry giard (culture jazz)

«Renaud Gabriel Pion est un interprète véritablement révolutionnaire dans le monde du saxophone contemporain, autant dans sa maîtrise instrumentale que pour son intégration exceptionnelle des tempéraments orientaux au sein d’un discours occidental.» thierry 'titi' robin

«une musique intense et imaginative qui dévoile au fil des notes un univers riche et rare»  krinein s/ paradise alley

«minimaliste dans la forme mais maximaliste dans le fond, la musique post-impressionniste de Renaud-Gabriel Pion est un havre de paix, d’une belle sophistication aux lignes abstraites, aux sonorités parfois énigmatiques, à la subtilité harmonique et aux figures de résonances où se mêlent timbre, espace et mouvement.» J. gillet

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